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Votre salarié tient des propos déplacés dans le canal Slack de l’équipe…

  • Photo du rédacteur: Cécilia REAL
    Cécilia REAL
  • 17 juin
  • 1 min de lecture

Et vous hésitez : sanction ou pas ?

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Blague douteuse, remarque à double sens, message ironique mal perçu…

Un outil collaboratif mal utilisé peut faire déraper l’ambiance de travail – et exposer l’entreprise juridiquement.


Slack, Teams, WhatsApp, mails internes…


Tous ces outils professionnels sont des espaces encadrés : ce n’est pas une discussion privée.


Chaque mot écrit peut être retenu comme preuve en cas de contentieux.


Si vous laissez passer :

– Vous validez tacitement un comportement inapproprié,

– Vous risquez une contestation de la part des collègues visés,

– Et votre inaction peut être jugée responsable… avec une condamnation à plusieurs dizaines de milliers d’euros.


Un cas concret : une entreprise a été condamnée à près de 90 000 € pour avoir mal géré des propos sexistes échangés sur Slack.


La salariée licenciée a obtenu gain de cause aux prud’hommes, faute pour l’employeur d’avoir réagi correctement à la situation.


Ce qu’il vous faut :

✔ Une charte d’usage claire des outils de communication,

✔ Un rappel des règles en cas de dérapage,

✔ Une sanction graduée… mais immédiate et proportionnée.


Ce n’est pas juste une question d’ambiance.


C’est une obligation légale de prévention du harcèlement et des comportements inappropriés.

 
 
 

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