Manage RH

Chaque fin d’année, certaines entreprises y échappent… par oubli ou par négligence.

Les fêtes approchent, les projets s’accumulent, et la fatigue se fait sentir… C’est souvent à ce moment-là que la motivation fléchit.

Vous menez vos entretiens de recrutement avec bienveillance… Mais attention à certaines questions qui peuvent, sans mauvaise intention, vous exposer à un risque juridique réel.

À l’approche de la clôture annuelle, les dossiers s’empilent, les deadlines s’enchaînent et vos équipes tirent sur la corde.

Décembre approche, et avec lui, la période des congés les plus sensibles de l’année.

3 signaux à repérer avant qu’il ne soit trop tard.

Votre salarié vous informe le matin même qu’il ne viendra pas travailler : son enfant est malade.

L’intelligence artificielle s’invite désormais dans tous les services RH : tri de CV, évaluation de performance, suivi du temps de travail, voire détection de signaux faibles de désengagement…

Votre salarié conteste la rupture de sa période d’essai et saisit la juridiction prud’homale ?

Les températures chutent, et certains bureaux deviennent de véritables frigos.

Novembre approche avec ses jours fériés... et les questions sur les ponts.

La démobilisation d’automne vous guette !

Votre salarié arrive chaque matin avec 10 ou 15 minutes de retard… et, au fil du temps, plus personne ne dit rien.

Votre salarié devait télétravailler mais… il a oublié son ordinateur au bureau. Le lendemain, il vous appelle et demande à télétravailler “quand même”, avec son matériel personnel ou depuis son téléphone.

Votre entreprise traverse une période tendue et vous proposez à un salarié une mutation temporaire pour assurer la continuité de l’activité. Mais celui-ci refuse.

Juridiquement, l’employeur doit fixer des objectifs clairs, réalistes et compatibles avec les moyens donnés aux salariés.

Votre salarié a télétravaillé régulièrement depuis plusieurs mois. Au moment où vous lui demandez de revenir au bureau, il refuse… au motif que cette organisation serait devenue son “droit acquis”.

Tout est prêt pour la reprise après l’été, mais un salarié ne revient pas à la date prévue. Aucun appel, aucun justificatif… silence radio.

En fin de contrat saisonnier, beaucoup d’employeurs se posent la même question : faut-il verser la prime de précarité ?

Un employeur constate qu’après la pause estivale, un salarié enchaîne les retards quotidiens. Résultat : désorganisation de l’équipe, tensions entre collègues, perte de productivité.